« L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde. » Cette citation de Nelson Mandela est toujours d’actualité. Dans une société de plus en plus complexe, où le pouvoir se concentre, l’éducation est un rouage central. Comment lutter contre le réchauffement climatique sans culture scientifique ? Comment analyser les évolutions du travail, sans culture sociale ? Comment s’émanciper sans accès à la culture ?
Comme l’a dit mon collègue Nicolas Bonnet-Oulaldj, nous saluons cette planification engagée sur les cinq prochaines années. Tous les chiffres le montrent : la pratique du vélo est en augmentation chaque année dans notre ville. Entre 2018 et 2019, Paris a vu augmenter son nombre de cyclistes de 54%. C’était plus 47% entre 2019 et 2020, et plus 20% entre 2020 et 2021. Sur certains axes, la fréquentation dépasse même celle des voitures aux heures de (...)
Après un premier plan vélo voté en 2018 à l’unanimité du Conseil de Paris, nous examinons aujourd’hui un second plan vélo qui fixe les orientations jusqu’à la fin du mandat. L’ambition du projet présenté est belle, celle d’un Paris accessible à 100% pour les cyclistes. Celle de parcours sécurisés, reliés aux autres départements, dans un maillage régional qui permettra à terme de se déplacer à vélo dans toute l’Île-de-France.
Le groupe Générations a choisi de dédier sa délibération de groupe à la situation des travailleurs et travailleuses sociales, merci de nous permettre de mettre en lumière ces professionnels, chevilles ouvrières de nos politiques publiques de lutte contre la précarité et la pauvreté.
Ils et surtout elles, car comme dans beaucoup de professions qui touchent à l’action sociale les métiers sont très féminisés. Ils et elles sont en souffrance. Des (...)
La communication qui nous est présentée fait état de l’ambition de la Ville de devenir la capitale européenne de l’innovation écologique sociale et solidaire. C’est une belle et saluable ambition, mais pour la réaliser, ayons bien à l’esprit que cela impliquera de prendre des mesures fortes et concrètes.
Nous le savons, si la densité commerciale à Paris est particulièrement forte, l’activité économique a été considérablement freinée par la crise (...)
Il y a 40 ans commençait un combat. Un combat non pas d’une armée contre une autre, où deux adversaires se font face, visibles et identifiés. Mais un combat beaucoup plus pernicieux.
C’est le tout début des années 1980. Les premiers cas sont documentés depuis quelque temps, mais la méconnaissance est grande. Et c’est de cette méconnaissance que naît la peur, la haine, la violence.
Oui, il a fallu combattre. Combattre l’ignorance d’abord, en luttant (...)
Il y a un enjeu fondamental dans l’élaboration du plan local d’urbanisme, et dans ce projet d’aménagement et de développement durable. C’est celui du rééquilibrage territorial. De la Ville du quart d’heure en passant par la lutte contre la mono-activité des territoires, la question de la répartition des activités et des flux humains doit retenir toute notre attention. Non seulement pour dessiner la Ville de demain, mais surtout pour répondre aux besoins (...)
Relocalisation du soin à Paris, relocalisation des équipements de proximité qui lui sont essentiels, mais aussi relocalisation de la production. La crise environnementale nous alertait déjà sur la nécessité d’infléchir notre dépendance à l’économie touristique… la crise sanitaire est venue confirmer l’urgence d’en sortir. Pour ce faire il nous faut favoriser les circuits-courts, et soutenir le tissu artisanal existant et en favoriser le développement.
L’un des piliers du service public c’est la fiscalité locale or depuis les années 80 on est face à une entreprise de casse de la fiscalité locale, au point qu’aujourd’hui la Gazette des communes titre "le contribuable local : une espèce en voix de disparition".
Sur 4 impots directs à pouvoir de taux mis en place en 1981, il ne reste plus que les taxes foncières et moins d’un tiers des impôts économiques sur les entreprises.
Pour la deuxième année consécutive, le débat d’orientation budgétaire est marqué par les conséquences financières mais surtout sociales de la crise sanitaire ayant entraîné d’importantes répercussions sur les ménages. L’année dernière le nombre de bénéficiaires du RSA à Paris a augmenté de près de 14%. 14% de dépenses supplémentaires assumées par notre collectivité, sans que l’État ne participe comme il aurait dû à résorber la crise.
Une révolution sociale et écologique de la production et de la consommation à Paris
Qualité de l’air, alimentation, pics de chaleur... La question écologique est au cœur des préoccupations des Parisien·nes et parisiens.
Les problématiques de l’environnement, du social, de l’industrie et de la production sont liées. Il est nécessaire de conjuguer tous ces enjeux pour construire un projet écologique pour Paris.
Ce sont des investissements ambitieux en matière de transport, de rénovation énergétique des bâtiments, d’alimentation, de végétalisation qui permettront de transformer la ville et (...)
La ville de Paris est pleinement engagée dans la conduite de politiques publiques participatives. Conseils de quartier, budgets participatifs, consultations citoyennes, les habitant·es sont invitées à participer toujours davantage a la mise en place des projets municipaux. Mais nous devons encore renforcer cette co-construction. Communistes, nous avons la conviction que la construction dune politique est aussi importante que la politique elle-même. Si nous prenons conscience de cette nécessité, (...)
Née de la volonté des collectivités de plus et mieux travailler ensemble, la Métropole aurait pu rester cette communauté de projets comme le souhaitaient la majorité des élu·e·s de la future zone métropolitaine.
Pourtant, cette Métropole du Grand Paris, comme toutes les autres métropoles françaises est mal née. Elle a été créée sans que réellement la population ait été associée aux choix et à la logique de sa création. Le groupe communiste à Paris avait demandé que la population soit consultée par référendum (...)
Pour un Paris des services publics, de la création de richesses au bénéfice de tou•te•s les habitant-e-s
Pour de nouvelles avancées sociales et écologiques, nous prévoyons un plan d’investissement de la
mandature de 9 milliards d’euros, dont 3 milliards pour notre politique de logement et 3 milliards
pour notre politique écologique.