L’invasion de l’Ukraine par Vladimir Poutine a conduit à la mise en place de sanctions nécessaires par les pays de l’Union Européenne à l’encontre de la Russie.
Ces sanctions, s’ajoutant à une spéculation déjà en cours et s’accroissant, entraînent une explosion des prix de l’énergie, du pétrole, du gaz, mais aussi de matières premières telles que le blé ou les céréales en général. La hausse des prix de l’essence est monumentale, et la mesure de diminution de 15 centimes proposée par le gouvernement est insuffisante.
Dans l’urgence, pour que les Franciliens ne soient pas assignés à résidence par les prix de l’essence, nous proposons que l’État finance en urgence la gratuité provisoire des transports en Île-de-France pour la durée du conflit en Ukraine. C’est une manière de donner une alternative aux automobilistes ne pouvant plus circuler en voiture. (Cette proposition n’a malheureusement pas été reprise).
Ensuite, le contexte européen nous montre qu’il est crucial que l’État renonce à l’extinction des tarifs réglementés de vente du gaz en 2023, et qu’il permette aux collectivités locales qui le souhaitent de revenir aux tarifs régulés de l’électricité. (Cette proposition a été reprise).
Enfin, nous n’acceptons pas que des profiteurs de guerre s’enrichissent sur le dos des Ukrainiens et des Français. Nous demandons l’instauration d’une taxe exceptionnelle sur les grands groupes énergétiques comme Total ou Engie. (Cette proposition n’a pas été reprise).
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